lundi 27 janvier 2014

"Penser un monde nouveau" aux éditions de l'Humanité : 50 entretiens dont celui de Muriel Salmona (paru le 6 septembre : «La réalité des violences sexuelles est l’objet d’un déni massif»)



jaquette


OSONS IMAGINER UN MONDE HUMANISÉ

Article à lire ICI : http://www.humanite.fr/medias/emancipation-osons-imaginer-un-monde-humanise-557775


Quelque cinquante intellectuels (dont Muriel Salmona, présidente de l'association Mémoire Traumatique et Victimologie)ont croisé leur critique radicale de la société actuelle et des pistes de transformation avec l’imaginaire de cinquante graphistes. Un dialogue vivifiant pour temps de crise.
Penser un monde nouveau Les éditions de l’Humanité, 222 pages, 18 euros. «Au départ, écrit le graphiste Gérard Paris-Clavel, il y a une rencontre, celle des mots et des images, dans les pages de l’Humanité l’été dernier.» La rédaction s’était lancée dans une entreprise ambitieuse, interroger des philosophes, des sociologues, historiens, économistes ou poètes sur leur vision et leurs pistes pour transformer le monde. Une certaine appréhension, avouons-le désormais, accompagnait l’entreprise: n’y aurait-il pas des réticences à nous répondre? En deux semaines, la crainte a été balayée. Et s’est construit, chemin faisant, un dialogue fécond d’une pensée à l’autre, de la pensée au geste de l’artiste, d’une idée qui se construit à sa représentation, presque une mise en acte qu’ouvre «l’image en regard», une affiche sélectionnée par Gérard Paris-Clavel parmi les plus fortes au monde. Cette rencontre vise à un dynamisme réciproque, faire retentir au grand large les idées de transformation, redonner «de la vitalité à l’affiche politique pour qu’elle travaille à dessiner un nouvel imaginaire social».

Une Rencontre au sommet entre les idées et les images
Cinquante entretiens avec Étienne Balibar, Paul Boccara, Robert Castel, Anne Clerval, Elsa Dorlin, Dany-Robert Dufour, François Durpaire, Cynthia Fleury, Bernard Friot, Álvaro García Linera, Isabelle Garo, Louise Gaxie et Alain Obadia, Jean-François Gayraud, Maurice Godelier, Roland Gori, David Graeber, Nedim Gürsel, Françoise Héritier, Béatrice Hibou, Keorapetse Kgositsile, Julia Kristeva, Catherine Larrère, Domenico Losurdo, Jean-Claude Michéa, Christophe Mileschi, Juan Carlos Monedero, Edgar Morin, Jean-Luc Nancy, André Orléan, Yves Pagès, Willy Pelletier, Camille Peugny, Thomas Piketty, Monique Pinçon-Charlot et Michel Pinçon, Yvon Quiniou, Pierre Rabhi, Muriel Salmona, Saskia Sassen, Lucien Sève, Yves Sintomer, Isabelle Stengers, Zeev Sternhell, Bernard Stiegler, Joseph Stiglitz, Emmanuel Todd, André Tosel, Lyonel Trouillot, Sophie Wahnich, Immanuel Wallerstein et Slavoj Zizek.

Et cinquante affiches en regard de…
Masuteru Aoba, Claude Baillargeon, Felix Beltrán, Roman Cieslewicz, Shigeo Fukuda, Milton Glaser, Grapus, John Heartfield, Henri Gustave Jossot, Alain Le Quernec, El Lissitzky, Sébastien Marchal, Holger Matthies, Shin Matsunaga, Kazumasa Nagai, Gérard Paris-Clavel, Michel Quarez, Gunter Rambow, U.G. Sato, Raymond Savignac, Klaus Staeck, Les Frères Stenberg, David Tartakover, Henryk Tomaszewski, Tomi Ungerer, etc.

Pour lire ou relire mon entretien réalisé par Anne Musso édité dans ce livre et paru en double page de l’Huma du 6 septembre 2013 : «La réalité des violences sexuelles est l’objet d’un déni massif»





samedi 25 janvier 2014

Nouvelle vidéo pratis TV du 24 janvier 2014 (Télé des professionnel-le-s de santé) sur les hommes violents : qui sont-ils ? avec la Dre Muriel Salmona interviewée par Cristelle Joly





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SEMINAIRE VIOLENCES FAITES AUX FEMMES ET SANTÉ 27-28 JANVIER 2013 avec la participation de la Dre Muriel Salmona présidente de l'association Mémoire Traumatique et Victimologie


SEMINAIRE VIOLENCES FAITES AUX FEMMES ET SANTÉ 27-28 JANVIER 2013




En 2013, la chaire santé de Sciences Po et ses partenaires ont mené un séminaire sur la santé des femmes.
Son objectif était de faire le point sur l’état des connaissances dans ce domaine et d’élaborer des recommandations.
Ce séminaire a rencontré un vif succès et a donné lieu à une publication (« Mieux prendre en compte la santé des femmes », Editions de Santé, Presses de Sciences Po), puis à un colloque.
La fin des échanges avait été consacrée à deux thématiques transversales, la précarité et les violences faites aux femmes. Il s’agit aujourd’hui d’approfondir cette dernière problématique en étudiant les dispositifs d’aide et d’accompagnement et en émettant des préconisations. De la même manière que le séminaire sur la santé des femmes appelait à intégrer le genre dans les politiques de santé publique, ce séminaire prendra en compte les violences faites aux femmes en tant que déterminant de santé.
La Chaire santé de Sciences Po et ses partenaires, la Mutualité Française, la MGEN, la Haute Autorité de Santé,, avec le soutien de la Mission interministérielle pour la protection des femmes contre les violences et la lutte contre la traite des êtres humains (MIPROF), souhaitent ainsi à travers ce nouveau séminaire de réflexion, élaborer des pistes possibles en matière de politiques publiques pour mieux prendre en charge sur le plan sanitaire et juridique les femmes victimes de violences.

Les objectifs du programme sont :
- de dresser un état des lieux : fréquence et type de violences faites aux femmes, d’identifier les sources de données et de présenter les offres d’aides et d’accompagnement faites aux femmes victimes de violences ;
- de s’interroger sur les retentissements de ces violences sur la santé des femmes ;
- de porter une attention toute particulière à la question de la prise de la prise en charge en interrogeant le circuit des victimes : urgences, et à moyen terme l’offre de soutien et de prise en charge qui peut leur être proposées, plaintes à la police ou à la gendarmerie, constat en unité médico-judiciaire (UMJ) ;
  • de bien préciser les conséquences d’une incapacité temporaire de travail (ITT) sur le plan juridique et de s’interroger sur la formation des médecins à appréhender la violence faites aux femmes et à faire des ITT.

A la suite des réflexions menées par les participants et les échanges avec les intervenants pendant le séminaire, un rapport sera réalisé reprenant les recommandations de ce groupe de travail.
Des places sont proposées, en nombre limité, aux personnes concernées par les problématiques des violences faites aux femmes, professionnels de santé et de santé publique, responsables d’associations, d’administrations centrales et locales, etc. qui souhaiteraient participer à cette réflexion.

Un colloque sous le Haut patronage du Ministère des droits des femmes clôturera ce séminaire le 14 mars 2014.

Avec la participation de la Dre Muriel Salmona, présidente de l'association Mémoire Traumatique et Victimologie qui interviendra sur les psychotraumatismes que présentent les femmes victimes de violences


PROGRAMME






vendredi 17 janvier 2014

À voir l'émission de France 5 Allô Docteurs sur le viol du vendredi 17 janvier 2014 avec Marie-Ange Le Boulaire et la Dre Muriel Salmona : victime d'un viol quelle prise en charge ?



Emission Allô Docteurs du vendredi 17 janvier 2014 à 14h30

Victime d'un viol : quelle prise en charge ?

invitées : 




Dre Muriel Salmona : psychiatre, psychotraumatologue et présidente de l'association Mémoire Traumatique et Victimologie et auteure de l'ouvrage : Le livre noir ds violences sexuelles chez Dunod, 2013



Marie-Ange Le Boulaire : témoin et auteure du livre Le viol chez J'ai lu, 2004






Pour voir l'émission en replay cliquez ICI

lundi 13 janvier 2014

Un "kit d'urgence" en cas de viol : un premier pas important envers les victimes, mais...Tribune de Muriel Salmona sélectionnée dans Le Plus 13 janvier 2014






Le chemin reste long pour leur offrir des soins coordonnés, spécialisés et accessibles à toutes et à tous.



LE PLUS. Le 10 janvier, le gouvernement a lancé des travaux pour simplifier le parcours des victimes de viol ou d'agression sexuelle. Un "kit d'urgence", contenant un test anti-VIH, un traitement contraceptif, un appareil photo pour matérialiser les preuves et une liste d'adresses de médecins, va être créé. Analyse de Muriel Salmona, psychiatre spécialisée dans la prise en charge des victimes.


Muriel Salmonapsychiatre, présidente de l'association Mémoire Traumatique et Victimologie ,

édité par  Sébastien Billard  

Auteur parrainé par Elsa Vigoureux le  13 janvier  2014



Améliorer la prise en charge des victimes de violences sexuelles est une urgence de santé publique reconnue comme telle en 2013 par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), et il est grand temps de s’y atteler en France.

Le 4e plan interministériel triennal de lutte contre les violences faites aux femmes, présenté par le gouvernement en novembre 2013, en a fait une priorité.

Et c’est dans ce cadre que le 10 janvier, la ministre des Droits des femmes et porte-parole du gouvernement Najat Vallaud Belkacem a lancé l’expérimentation d’un kit d’urgence pour les viols[1] par les services d’urgences hospitalières et les médecins hospitaliers et libéraux de deux départements pilotes.

C’est un premier pas important pour simplifier et protocoliser le parcours de prise en charge en urgence des victimes de viol.

Mais le chemin reste long pour leur offrir des soins coordonnés, spécialisés et accessibles à toutes et tous, avec des centres d’aide d’urgence en nombre suffisant, par des professionnels formés comme l’exige la Convention d’Istanbul, que la France a signée et va bientôt ratifier[2].

Un viol, une urgence pénale et médicale

Le viol n’est pas seulement une urgence pénale en tant que crime[3], c’est une urgence médicale qui nécessite des soins immédiats.

Il fait partie – avec la torture – des pires traumas que l’on puisse subir, et qui entraîne le plus d’états de stress post-traumatiques chez les victimes. Aussi, toute victime de viol, qu’elle veuille porter plainte ou non, doit pouvoir bénéficier d’un examen en urgence par un ou des professionnel formé-s. Pour être optimal, cet examen doit se faire dans les 72 heures.

Il s’agit en priorité, dans un climat de grande sécurité et de confidentialité, avec précaution et bienveillance, et en donnant toutes les explications et les informations médicales sur les examens, de prodiguer les soins chirurgicaux et médico-psychologiques nécessaires et de soulager la souffrance.

Mais il s'agit également de rechercher et prévenir un risque suicidaire et d’évaluer les dangers courus, de mettre en place si besoin une contraception d’urgence (dans les 5 jours qui suivent le viol), une prévention et un traitement des infections sexuellement transmissibles (dans les 72 heures pour le traitement post exposition pour le VIH), une prophylaxie du tétanos, et un arrêt de travail.

Il s'agit aussi de faire une prise en charge du choc psychotraumatique initial, de l’état de sidération, de dissociation traumatique et de de stress aigu, ce qui permet de prévenir la mise en place d’une mémoire traumatique avec son lot de conséquences psychotraumatiques et leurs impacts à long terme sur la santé des victimes.

Et dans le cadre médico-légal, il s’agit de recueillir des preuves en décrivant dans un certificat les lésions physiques et les atteintes neuro-psychiques observées, et de donner une ITT (interruption totale de travail), de rechercher des traces de sperme et des preuves ADN.

Lors de cet examen, la victime sera informée de ses droits, de l’évolution possible de ses symptômes, de la surveillance à mettre en place et elle sera orientée vers des consultations spécialisées.

Une offre de soins encore défaillante

Mais actuellement, la plus grande partie des victimes de viols ne reçoivent pas ces soins et restent isolées avec de lourds traumas. Seules 10% des victimes portent plainte et se retrouvent dans le circuit médico-légal (moins de 2% en cas de viols conjugaux).

Pour lire la suite cliquez ICI


Pour lire toutes les tribunes sélectionnées par Le Plus du Nouvel Obs et déjà publiées (13 tribunes) cliquez ICI 


mercredi 1 janvier 2014

INTERVENTIONS ET ACTIONS DE L'ASSOCIATION MÉMOIRE TRAUMATIQUE ET VICTIMOLOGIE EN JANVIER, FÉVRIER ET MARS 2014






INTERVENTIONS ET ACTIONS 
DE L'ASSOCIATION
MÉMOIRE TRAUMATIQUE ET VICTIMOLOGIE 
EN JANVIER, FÉVRIER ET MARS 2014



JANVIER 2014


1- le 15  janvier à Paris (75)


Groupe de travail "formation des professionnels de santé"  de la MIPROF Mission interministérielle pour la protection des femmes contre les violences et de lutte contre la traite des êtres humains




2- le 17 janvier à Issy les Moulineaux (92)






La Dre Muriel Salmona participe à l’émission Magazine de la santé" pour la séquence " Allô docteurs» consacrée au viol avec Marina Carrère d’Encausse et Michel Cymes à 14h25 le 17 janvier 2014


3- le 27 janvier à Paris (75)




dans le cadre  du séminaire de réflexion sur les violences faites aux femmes et la santé, les 27 et 28 janvier 2014  organisé par La Chaire santé de Sciences Po , en partenariat avec la Mutualité Française, la MGEN et avec le soutien de la MIPROF et le ministère des Droits des Femmes 
intervention de la Dre Muriel Salmona présentant Le psychotrauma dans la session intitulée «  Conséquences des violences sur la santé, vues par trois catégories de professionnels de santé »..  
Ce séminaire fermé regroupera une trentaine d'experts-es et de personnes toutes intéressées par la question des violences faites aux femmes. Les échanges et les préconisations du groupe de travail feront l'objet d'un rapport. Ce séminaire doit déboucher sur un colloque le 7 mars, précédant la journée internationale de la femme.
Le séminaire se déroulera dans les locaux de la Mutualité Française, 255, rue de Vaugirard, PARIS 15 


4- le 28 janvier à Paris (75)

Conférence sur le thème des violences sexuelles à l’École Nationale de la Magistrature organisée a section syndicale du Syndicat de la Magistrature de l'ENM le 28 janvier à partir de 17h30 jusqu'à 19h30 avec comme intervenantes Isabelle Thieulleux  (avocate)et Muriel Salmona


FÉVRIER 2014


5- le 04 février à Paris (75)





Emission de Flavie Flament de 15 à 16h avec Muriel Salmona sur le harcèlement sexuel. http://www.rtl.fr/emission/on-est-fait-pour-sentendre


6- le 15 février à Besançon (75)




Participation de Muriel Salmona à la table ronde sur les violences envers les femmes lors de la 10è édition du forum du livre "Plumes rebelles" organisé par Amnesty International France et délocalisé à Besançon en Franche-Comté, elle présentera son ouvrage : «Le livre noir des violences sexuelles».
Le salon du livre citoyen d'Amnesty International, se consacre aux droits humains, à la liberté d'expression et à l'écriture engagée.
Durant deux jours, il crée un espace de visibilité d'ouvrages, de maisons d'édition, de libraires indépendants et il invite des auteurs  tous critiques, militants ou rebelles  à rencontrer le public autour de tables rondes.
Pour cette 10è édition, les thèmes suivants seront abordés:

    - Samedi 15/02/14 de 14h à 16h: violences envers les femmes
    - Samedi 15/02/14 de  16h à 18h:  responsabilité des entreprises en matière des droits humains
    - Dimanche 16/02/14  de 10h30 à 12h30: liberté d'expression sur Internet 
    - Dimanche 16/02/14  de 14h à 16h: Moyen Orient: printemps arabes


7- le 17 février à Paris (75)



Pôle formation du Centre Monceau



Première journée de Formation de l'association Mémoire traumatique et victimologie :
Conséquences des psychotraumatismes et soins psychothérapiques aux victimes 

Mémoire Traumatique et Victimologie, en partenariat avec Familia, pôle formation du Centre Monceau, ouvre les inscriptions pour la formation « Conséquences des psychotraumatismes et soins psychothérapiques aux victimes ». 

Cette formation sera assurée par la Docteure Muriel Salmona, psychiatre, psychotraumatologue et Sokhna Fall, thérapeute familiale, victimologue et ethnologue.

Les conséquences psychotraumatiques des violences, leur impact sur la santé psychique des victimes restent méconnues et mal prises en charge. Les cursus universitaires n'accordent qu'une très faible place à cette clinique, malgré les intuitions précoces de la psychanalyse, les connaissances cliniques des états de stress post-traumatiques, et les avancées récentes des recherches en neurobiologie. 

Dans ce contexte l'association Mémoire Traumatique et Victimologie propose une formation destinée aux professionnels susceptibles de prendre en soins des victimes de violences. Cette formation s'adresse à des cliniciens ayant déjà une expérience en psychothérapie : médecins psychiatres, psychologues, psychothérapeutes, infirmièr-e-s en psychiatrie. Elle est centrée sur l'identification des violences subies, le traitement de leur conséquences psychosociales et particulièrement sur la mémoire traumatique. 

Cette formation se déroulera sur deux ans, à raison de 9 journées la première année, tarif annuel : 1600€ ; et de 6 journées la deuxième année, tarif annuel : 1100€.

Centre Familia, 46 rue d'Amsterdam, Paris 7509

Les demandes de préinscription peuvent être adressées dès maintenant à memoiretraumatique@gmail.com ou à info@centre-familila.com.



8- le 26 février à Lyon (75)





La Dre Muriel Salmona présentera son ouvrage : Le livre noir des violences sexuelles lors d’une soirée "grand public" à l'ESPE (École Supérieure du Professorat et de l'Éducation) de Lyon, à destination des étudiant-e-s se préparant aux métiers de l'enseignement principalement, dans le cadre d'un cycle de conférences "Les Causeries d'Aspasie" en lien avec le fonds documentaire Aspasie




9- le 27 février à Lyon (75)



Intervention de la Dre Muriel Salmona à la faculté de Médecine de Lyon




MATINÉE DU 27 FÉVRIER Faculté de Médecine de Lyon, étudiant-e-s de 1e année, grand amphithéâtre de 500 étudiant-e-s enseignement de Sciences Humaines et sociales SHS
8h-8h30 : Sexe et Genre en médecine (Muriel Salle)
8h30-9h30 : Femmes et hommes dans le champs de la santé (Muriel Salle)
9h45-10h30 : Muriel Salle traite le sujet "Le sexe est-il un déterminant social de santé ?"
10h30-12 h : Rencontre-débat avec le Docteur Muriel Salmona, auteure de l'ouvrage : Le livre noir des violences sexuelles




Intervention de la Dre Muriel Salmona à l'ESPE de Lyon

APRÈS-MIDI DU 27 FÉVRIER (ESPE de Lyon, séminaire avec des collègues enseignants-chercheurs en SHS et étudiant-e-s de Master spécialisés sur les questions de genre
14h30-17h30 Présentation par la Dre Muriel Salmona du mécanisme de la mémoire traumatique et de son ouvrage : Le livrenoir des violences sexuelles





MARS 2014



10- le 7 mars à Bayonne (64)

11- le 8 mars à Villejuif (94)


1, esplanade Pierre-Yves-Cosnier 
Tél. : 01 45 59 25 59 


La Médiathèque Elsa Triolet dans le cadre des questions citoyennes (Échanges et débats avec un spécialiste de la question sur des sujets de société) à l’occasion de la journée de la femme, organise un échange de 17 à 18h30 sur : «Quelles conséquences les violences faites aux femmes ont sur l’individu et au sein de la cellule familiale ? Pourquoi les femmes victimes de violences rencontrent-elles autant de difficultés à être entendues par la société et accompagnées dans leur reconstruction ?»
avec Muriel Salmona, psychiatre-psychothérapeute, présidente de l’association Mémoire Traumatique et Victimologie, auteure du Livre noir des violences sexuelle nous accompagnera pour un état des lieux et un échange avec le public  sur la question.




12- le 10 mars à Paris (75)


Pôle formation du Centre Monceau


Deuxième journée de Formation de l'association Mémoire traumatique et victimologie :
Conséquences des psychotraumatismes et soins psychothérapiques aux victimes 

Mémoire Traumatique et Victimologie, en partenariat avec Familia, pôle formation du Centre Monceau, ouvre les inscriptions pour la formation « Conséquences des psychotraumatismes et soins psychothérapiques aux victimes ». 

Cette formation sera assurée par la Docteure Muriel Salmona, psychiatre, psychotraumatologue et Sokhna Fall, thérapeute familiale, victimologue et ethnologue.

Les conséquences psychotraumatiques des violences, leur impact sur la santé psychique des victimes restent méconnues et mal prises en charge. Les cursus universitaires n'accordent qu'une très faible place à cette clinique, malgré les intuitions précoces de la psychanalyse, les connaissances cliniques des états de stress post-traumatiques, et les avancées récentes des recherches en neurobiologie. 

Dans ce contexte l'association Mémoire Traumatique et Victimologie propose une formation destinée aux professionnels susceptibles de prendre en soins des victimes de violences. Cette formation s'adresse à des cliniciens ayant déjà une expérience en psychothérapie : médecins psychiatres, psychologues, psychothérapeutes, infirmièr-e-s en psychiatrie. Elle est centrée sur l'identification des violences subies, le traitement de leur conséquences psychosociales et particulièrement sur la mémoire traumatique. 

Cette formation se déroulera sur deux ans, à raison de 9 journées la première année, tarif annuel : 1600€ ; et de 6 journées la deuxième année, tarif annuel : 1100€.

Centre Familia, 46 rue d'Amsterdam, Paris 7509

Les demandes de préinscription peuvent être adressées dès maintenant à memoiretraumatique@gmail.com ou à info@centre-familila.com.




13- le 13 mars à Chartre (94)


Journée de formation féministe sur les violences sexistes et sexuelles faites aux femmes avec l’AVFT et Muriel Salmona



14- le 14 mars à Paris (75)




Intervention de la Dre Muriel Salmona sur le thème  : Les conduites dissociantes paradoxales liées à un passé de violences sexuelles 
COLLOQUE, VENDREDI 14 MARS 2014 à la MAISON DE LA CHIMIE - 28 RUE SAINT DOMINIQUE 75007 PARIS
LES ADOLESCENTS PAS FACILES
Sous la direction du Dr Jean Chambry, pédopsychiatre, chef de pôle, CHI Fondation Vallée, Gentilly, CHU Le Kremlin-Bicêtre, du Dr Bertrand Lauth, pédopsychiatre, CHU de Reykjavik et Université d’Islande,
et du Dr Ioana Atger, pédopsychiatre, chef de service, Clinique Dupré, Fondation Santé Etudiants de France, Sceaux.
Dans toutes les institutions, les adolescents sont à risque d’épuiser et de mettre à mal les professionnels. Comment comprendre et accompagner en préservant la qualité de la relation tout en faisant preuve de créativité ?



15- le 20 mars à Rouen (76)





Colloque sur le thème des « violences intra-familiales » au sein du Centre Hospitalier du Rouvray, Sotteville-Lès-Rouen, le 20 mars 2014 pour l'ensemble du personnel de l'hopital co-organisé par le Collège des Psychologues en en partenariat avec le groupement professionnel des Assistantes sociales et la Formation Continue.
L’intervention de la Dre Muriel Salmona de 10h30 à 12h30 portera sur le thème de « la relation d’emprise dans le couple »
Madame Hélène Romano interviendra l’après-midi sur le vécu traumatique des enfants



16- le 20 mars à Ville-Evrard (94)




Intervention de la Dre Muriel Salmona au séminaire du jeudi organisé par les Dr Daniel ZAGURY et Dre Gabrielle ARENA
DU NORMAL AU PATHOLOGIQUE : LES FIGURES DU DENI
à l’E.P.S de Ville-Evrard, Centre Psychiatrique du Bois de Bondy de 14 à 16 Heures 30 sur le thème  : « déni sociétal des violences faites aux femmes »



DU NORMAL AU PATHOLOGIQUE  :
LES FIGURES DU DENI

Comment refuser l’inacceptable…nous écartons tous ce que nous considérons comme gênant, envahissant ou trop angoissant. Le déni agit comme un moyen de défense face à une situation ressentie par le sujet comme traumatisante ou bien lorsque tous les éléments viennent lui rappeler sa  vulnérabilité. Le déni sauvegarde l’individu en réduisant la tension interne et l’angoisse qui en résulte .pour un temps, il assure sa survie psychique face à une réalité interne ou externe ressentie par lui comme insoutenable. 
Le déni normal chez le petit enfant qui s’interroge sur la sexualité, disparaît lorsqu’il grandit. Mais, si le conflit infantile inconscient persiste, le sujet alors reste fixé à cette étape de son développement. Décrit comme structurel dans la perversion, massif dans la schizophrénie, le déni est dans la plupart des cas souvent mobilisable.
Le déni parfois s’exprime collectivement, il est le refus de tout un groupe  d’accepter la réalité historique ou présente (révisionnisme négationnisme…génocides). 
Quelles sont les diverses situations cliniques dans lesquelles ce mécanisme défensif inconscient intervient ?
Comment travailler avec le déni ou autour afin de le réduire et de rendre le sujet plus accessible aux soins ?

MOTS CLES
Déni/grossesse ; déni / troubles du comportement alimentaire,
Déni / psychoses / névroses,
Déni et famille, déni et soignants/institutions
Déni / traumatisme ; déni/addictions ; déni / violence sexuelle
Déni de l’histoire ; falsification de l’histoire déni de justice…

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES ET INSCRIPTIONS

Inscription gratuite
Fréquence : un jeudi par mois,
Horaires : de 14 heures à 16 heures 30,
Lieu : CENTRE PSYCHIATRIQUE DU BOIS DE BONDY
13/15 rue Lucien Chapelain (ex Voie Promenade)



17- le 21 mars à Bordeaux (33)




La Résilience est un concept dont on parle beaucoup mais dont on connait peu les mécanismes à l’œuvre. En quoi consiste t-elle exactement ?
Si la définition la plus large, admise communément, souligne la reprise d’un néo-développement après un traumatisme ou des traumatismes, il reste encore à en définir les différentes formes : résilience cognitive, neuronale, relationnelle…
Autant d’aspects à prendre en compte pour tous les professionnels du champ sanitaire et social. En particulier quand les personnes ne sont pas encore résilientes, quels processus d’aide et de soutien peut-on mettre en place et selon quelles modalités pour que la résilience assistée se développe ?

Myriam Cassen, Dr. Boris Cyrulnik, Dr. Muriel Salmona... (liste non exhaustive)
Programme en cours de réalisation

Lieu : Athénée Municipal de Bordeaux - Amphithéâtre Wrésinski - Place Saint-Christoly - 33000 BORDEAUX

COÛT

Inscription individuelle (prise en charge personnelle) : 180 euros par personne
Inscription institutionnelle (prise en charge par une institution) : 220 euros par personne


Horaires : 9h / 16h30 - Accueil : 8h30