INTERVENTIONS ET ACTIONS
DE L'ASSOCIATION
MÉMOIRE TRAUMATIQUE ET VICTIMOLOGIE
EN NOVEMBRE et DECEMBRE
2017
2017
NOVEMBRE 2017
1- le 10 novembre à Bruxelles
Commissariat Général aux Réfugiés et aux Apatrides
Trauma et mémoire : Mid’info Dr M. Salmona
La cellule genre du Commissariat Général aux Réfugiés et aux Apatrides invite à une rencontre avec la psychiatre française Muriel Salmona, spécialisée en mémoire traumatique et victimologie. https://fr.wikipedia.org/wiki/Muriel_Salmona
De quelle manière des actes de violence, des évènements traumatisants, peuvent-ils influencer la mémoire des victimes ? Elle abordera entre autres aspects, le syndrome de stress post traumatique, les conséquences des crimes sexuels, des violences faites aux femmes, aux enfants, …
2- le 14 novembre à Toulouse
Conseil Départemental de Haute-Garonne
Journée de formation sur les violences conjugales organisée par le Conseil Départemental de Haute-Garonne auprès de 150 travailleurs médico-sociaux (assistants sociaux de polyvalence, référents Aide Sociale à l'enfance, psychologues, puéricultrices et médecins PMI, CESF, TISF, médecins et infirmiers des actions médico-sociales) du Conseil Départemental de Haute-Garonne.
Intervention de la Dre Muriel Salmona présidente de l’association Mémoire Traumatique et Victimologie de 14h à 17h :
Répérage des victimes et les mécanismes de la violence dans le couple et son impact traumatique sur les victimes
3- le 16 novembre à Paris,
https://www.sgen-cfdt.fr/actu/coloque-medical-snamspen-violences-enfant-adolescent-quelles-reponses/
XXXVIIIe COLLOQUE MEDICAL du S.NA.M.S.P.E.N.
Syndicat NAtional des Médecins de Santé Publique de l'Education Nationale U.C.M.S.F
Les violences faites à l'enfant, prévenir, dépister, agir, rôle du médecin scolaire
Intervention de la Dre Muriel Salmona présidente de l’association Mémoire Traumatique et Victimologie sur :
Impact psychodramatique des violences faites aux enfants : la mémoire traumatique à l’oeuvre
programme
4- le 17 novembre à Nantes,
Unité d'accueil des enfants en danger du CHU de Nantes
Journée universitaire de pédiatrie médico-légale, sur les Conséquences des violences sur la santé des enfants et des adolescents
Organisée par l'unité d'accueil des enfants en danger du CHU de Nantes en partenariat avec la faculté de médecine et le Département de Loire-Atlantique qui se tiendra à la faculté de Médecine de Nantes, amphithéâtre Kernéis, le 17 novembre 2017.
La loi de protection de l’enfant du 14 mars 2016 vise à garantir une meilleure prise en compte des besoins fondamentaux et des droits de l’enfant, à améliorer la prévention, le repérage et le suivi des situations de danger à garantir plus de cohérence et de stabilité dans les parcours des enfants en protection de l’enfance.
Les conséquences des violences sur la santé des enfants et des adolescents, sont maintenant mieux connues, et laissent entrevoir un enjeu majeur de sante publique. Les objectifs de ce colloque, à trois jours de la Journée internationale des droits de l’enfant, seront de mieux connaître les besoins fondamentaux de l’enfant en protection de l’enfance, de mieux comprendre les conséquences des violences sur la sante de l’enfant et de l’adolescent, et d’apporter des pistes de réflexion sur leur évaluation et leur prise en compte.
Intervention de la Dre Muriel Salmona présidente de l’association Mémoire Traumatique et Victimologie sur :
Mémoire traumatique : Impact psychotraumatique des violences sur la santé des enfants
5- le 23 novembre à Paris,
Commission des lois du Sénat :
Audition de la Dre Muriel Salmona présidente de l’association Mémoire Traumatique et Victimologie par le
Groupe de travail sur les infractions sexuelles commises sur les mineurs
6- le 23 novembre à Paris,
Osez Le Féminisme Vous invite à la soirée qu’elle organise pour
la NUIT DES DÉBATS
le Jeudi 23 novembre 2017 à 19h45 - Salle du Conseil de Paris
“La nuit des débats : le cri des femmes !”
Animé par Hélène Bidard
La Dre Muriel Salmona interviendra sur le thème : S’écouter et se comprendre, c’est se préparer : Conséquences post-traumatiques, dissociation, état de sidération… Quels sont les effets psychologiques des agressions
7- le 24 novembre à Tours,
Direction Départementale de la Cohésion Sociale
Responsable de la Délégation aux Droits des Femmes et à l'Égalité
Responsable de la Délégation aux Droits des Femmes et à l'Égalité
LES VIOLENCES SEXUELLES
Définition, impacts et prise en charge
Journée d'étude
La Pléiade 154 rue de la Mairie La Riche
avec la Dre Muriel Salmona présidente de l’association Mémoire Traumatique et Victimologie
8- le 25 novembre à Paris,
Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes
2017 : ALLONS NOUS DIRE ENFIN STOP AUX VIOLENCES CONTRE LES FEMMES ? : MANIFESTATION 25 NOVEMBRE 2017 REGION PARISIENNE 13H MONTREUIL, 14H30 REPUBLIQUE
Le 25 novembre, journée internationale pour l’élimination des violences contre les femmes, arrive cette année dans une actualité brûlante. Deux semaines après que le viol d'une enfant de 11 ans ait été requalifié “d’atteinte sexuelle” par le parquet, des centaines de milliers de femmes victimes de harcèlement et d’agressions sexuelles se mobilisent pour dénoncer publiquement leurs agresseurs, connus ou non, avec les hashtags #BalanceTonPorc et #MoiAussi. Le mouvement est mondial.
Certains semblent découvrir le sujet et s'étonnent du nombre de victimes. Pourtant, les violences patriarcales contre les femmes ne sont pas des faits nouveaux. En France, les chiffres n’évoluent quasiment pas d'une année sur l'autre. En 2016, au moins 123 femmes ont été assassinées par leur conjoint ou ex. Chaque jour, 230 femmes adultes sont violées, et plus encore de filles mineures.
Les violences patricarcales prennent de très nombreuses formes : publicités sexistes et dégradantes, insultes, harcèlement dans la rue, cyberharcèlement, harcèlement sexuel au travail, lesbophobie, coups, agressions sexuelles, prostitution et traite, pornographie, mutilations sexuelles, mariages forcés, viols, violences conjugales, violences psychologiques, administratives et économiques, violences contre les femmes en situation de handicap, de vulnérabilité économique, femmes migrantes étrangères souvent victimes de double violence.
Ces violences sont universelles, et touchent toutes les femmes. Elles ont lieu partout dans le monde et sont le fait d’hommes de toutes origines, de tous milieux, de tous pays. Elles ne sont pas seulement le fait de “pauvres”, “d’étrangers” ou d’hommes issus de “quartiers difficiles”, comme on voudrait souvent nous le faire croire afin d’instrumentaliser la parole féministe à des fins racistes, ou pour stigmatiser les milieux populaires.
Malgré l’action des associations féministes et les témoignages de femmes victimes, la tolérance de la société face à ces violences reste très forte, et l’impunité des agresseurs reste la règle : 1% de violeurs seulement est condamné en France.
Il est temps que la société prenne la mesure des violences subies par les femmes du fait du système patriarcal et pour le maintenir. Arrêter les violences ne peut se faire sans un changement global des rapports entre les femmes et les hommes. Cela suppose une volonté de mener une politique publique contre les violences faites aux femmes, de grande ampleur. Cela exige un budget conséquent alloué au secrétariat d’Etat à l’égalité entre les femmes et les hommes. Les subventions aux associations, qui remplissent des missions de service public, doivent être pérennisées et augmentées. Leurs emplois doivent pouvoir être conservés car elles pâtissent en premier lieu de la suppression des contrats aidés.
Nous demandons une loi-cadre contre les violences et le sexisme, qui inclut :
- l'application des lois existantes, le renforcement de l'arsenal juridique, la fin de l'impunité et la protection des victimes ;
- dès le plus jeune âge la prévention et l'éducation à l'égalité, au respect et à la vie affective et sexuelle ;
- la formation des professionnel.le.s aux violences sexuelles et sexistes.
Le 25 novembre, femmes et hommes, manifestons pour enfin en finir avec les violences patriarcales contre les femmes !
Certains semblent découvrir le sujet et s'étonnent du nombre de victimes. Pourtant, les violences patriarcales contre les femmes ne sont pas des faits nouveaux. En France, les chiffres n’évoluent quasiment pas d'une année sur l'autre. En 2016, au moins 123 femmes ont été assassinées par leur conjoint ou ex. Chaque jour, 230 femmes adultes sont violées, et plus encore de filles mineures.
Les violences patricarcales prennent de très nombreuses formes : publicités sexistes et dégradantes, insultes, harcèlement dans la rue, cyberharcèlement, harcèlement sexuel au travail, lesbophobie, coups, agressions sexuelles, prostitution et traite, pornographie, mutilations sexuelles, mariages forcés, viols, violences conjugales, violences psychologiques, administratives et économiques, violences contre les femmes en situation de handicap, de vulnérabilité économique, femmes migrantes étrangères souvent victimes de double violence.
Ces violences sont universelles, et touchent toutes les femmes. Elles ont lieu partout dans le monde et sont le fait d’hommes de toutes origines, de tous milieux, de tous pays. Elles ne sont pas seulement le fait de “pauvres”, “d’étrangers” ou d’hommes issus de “quartiers difficiles”, comme on voudrait souvent nous le faire croire afin d’instrumentaliser la parole féministe à des fins racistes, ou pour stigmatiser les milieux populaires.
Malgré l’action des associations féministes et les témoignages de femmes victimes, la tolérance de la société face à ces violences reste très forte, et l’impunité des agresseurs reste la règle : 1% de violeurs seulement est condamné en France.
Il est temps que la société prenne la mesure des violences subies par les femmes du fait du système patriarcal et pour le maintenir. Arrêter les violences ne peut se faire sans un changement global des rapports entre les femmes et les hommes. Cela suppose une volonté de mener une politique publique contre les violences faites aux femmes, de grande ampleur. Cela exige un budget conséquent alloué au secrétariat d’Etat à l’égalité entre les femmes et les hommes. Les subventions aux associations, qui remplissent des missions de service public, doivent être pérennisées et augmentées. Leurs emplois doivent pouvoir être conservés car elles pâtissent en premier lieu de la suppression des contrats aidés.
Nous demandons une loi-cadre contre les violences et le sexisme, qui inclut :
- l'application des lois existantes, le renforcement de l'arsenal juridique, la fin de l'impunité et la protection des victimes ;
- dès le plus jeune âge la prévention et l'éducation à l'égalité, au respect et à la vie affective et sexuelle ;
- la formation des professionnel.le.s aux violences sexuelles et sexistes.
Le 25 novembre, femmes et hommes, manifestons pour enfin en finir avec les violences patriarcales contre les femmes !
9- le 28 novembre à Roanne,
À l’occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes
conférence de la Dre Muriel Salmona présidente de l’association Mémoire Traumatique et Victimologie
La mémoire mémoire à l’épreuves des violences
Regards croisés sur la prise en charge des victimes en rognais
conférence co-organisée par CIDFF, Le planning familial, SOS Violences Conjugales 42, Arravem, le Centre Hospitalier de Roanne, le préfet de la Loire, la ville de Roanne,
13h30 à 17h Chorum Alain Gilles Halle André Vacheresse
9- le 29 novembre à Clermont Ferrand,
COLLOQUE REGIONAL DE
sensibilisation des professionnels du Secteur Santé & Social
vis à vis des Violences Faites aux Femmes
"De la sexualité à la violence sexuelle »
L'ensemble des professionnel.le.s s'engagent
sur la prise en charge des femmes et des enfants victimes de violences sexuelles
organisé par Gynécologie Sans Frontières
Clermont-ferrand 29 novembre 2017
Faculté d'odontologie - 2 rue de Braga – 63000 Clermont-Ferrand
Avec l'intervention de la Dre Muriel Salmona présidente de l’association Mémoire Traumatique et Victimologie
Mémoire traumatique de l'enfant à l'âge adulte
DECEMBRE 2017
1- le 5 décembre à Paris,
PROGRAMME DE FORMATION
Enfants de retour de zone de guerre. Quelles prises en charge ?
avec les interventions
Thierry BAUBET, Chef de Service de Psychopathologie de l'enfant, de l'adolescent, psychiatrie générale et addictologie spécialisée à l’Hôpital Avicenne
Et Muriel Salmona ; psychiatre, présidente de l'Association mémoire traumatique
Psycho-trauma du jeune enfant exilé et provenant d’une
situation de guerre.
Les enjeux de sa prise en charge.
La situation des familles ressortissantes ou résidentes françaises présentes en zone de guerre irako-syrienne fait l’objet d’une attention particulière du gouvernement. Si le nombre d’enfants de retour en France est pour l’instant faible, leur prise en charge par les services sociaux nécessite d’être anticipée.
En effet, la circulaire du 24 mars 2017 instaure, à titre expérimental et exceptionnel pendant 3 ans, la possibilité pour le juge des enfants de prononcer une mesure d’Assistance Educative en Milieu Ouvert exercée par la PJJ au bénéfice d’enfants confiés conjointement à l’aide sociale à l’enfance.
Cette formation de 3 jours vise à sensibiliser les professionnels de la PJJ sur les spécificités de ce public de jeunes enfants ayant subis des traumas dans un contexte d’exil et de guerre, ainsi qu’à les outiller sur les enjeux spécifiques de leur prise en charge dans un cadre judiciaire civil.
2- le 7 décembre à Paris,
Formation MIPROF
Intervention de la Dre Muriel Salmona
sur les conséquences psychotraumatiques des violences sur la santé des femmes
à la journée de formation pour les chirurgiens dentistes
3- le 8 décembre à Limoge,
http://www.ceccof.com/evenements/colloques#colloqueR
COLLOQUE CECCOF (Centre d'Études Cliniques des Communications Familiales)
NOS CROYANCES EDUCATIVES BOUSCULÉES
L’impact des neurosciences dans l’approche du développement de l’enfant et de l’adolescent
Notre culture systémique, nous incite à réfléchir et à travailler autour de la prise en compte de l'individu et de son symptôme dans ses interactions avec ses différents contextes de vie...
Depuis une dizaine d'années, les neurosciences apportent de nouvelles connaissances pour la compréhension de la psychologie humaine. Les nouvelles technologies, dont les progrès de l'imagerie médicale, nous permettent d'approcher l'homme au travers de son fonctionnement cérébral. Ces découvertes ont donné naissance à de nouveaux modes de compréhension du comportement humain. Une perception quelque peu mécanique du fonctionnement psychoaffectif des individus s'est mise en place. L’attitude positive dans la relation à l'Autre est devenue une norme que chacun doit appliquer. Les neuromédiateurs activés au cours d'échanges « positifs » seraient ils les seuls gages d'équilibre et de sérénité émotionnels ?
Nous assistons à l'émergence d'un nouveau paradigme qui interroge nos modes de compréhension et d'intervention dans nos contextes socio-éducatifs, pédagogiques et thérapeutiques. Serons-nous en capacité de les mettre au service d’une meilleure appréhension de la complexité et d'éviter l'écueil d’une simplification causale ?
Avec l'intervention de la Dre Muriel Salmona
Les mécanismes psychologiques et neuro-biologiques à l’oeuvre dans les troubles psychotraumatiques
Muriel SALMONA, Psychiatre, Présidente de l'association Mémoire Traumatique et Victimologie, Responsable d'études sur les conséquences psychotraumatiques des violences (2008, 2015). Auteur de « Violences sexuelles : les 40 questions-réponses incontournables », Paris, Dunod, 2015, « Châtiments corporels et violences éducatives ». Paris, Dunod, 2016
4- le 12 décembre à Amiens,
Académie de la Somme
Journée du rectorat d’Amiens auprès des médecins, des infirmières, des assistantes sociales, des psychologues scolaires, des chefs d’établissement et des CPE de l’académie de la Somme ainsi que des professionnels de la santé et des services d’urgences
avec l'intervention de la Dre Muriel Salmona, Présidente de l'association Mémoire Traumatique et Victimologie
sur le psychotraumatisme et ses mécanismes
l’impact psychotraumatique des violences sur la santé
La journée se déroulera
le mardi 12 décembre
à CANOPEE ( ex : CRDP) 45 rue st leu à Amiens,
à l'amphithéatre robert wallet
de 9h à 17 h
Mr Jean Hubac Inspecteur d'Académie de la somme fera l'ouverture
Vous êtes accueillie par Mme le docteur Bleux, Mme la conseillère technique de service social en faveur des élèves Mme Goyet et l'infirmière conseillère technique Mme Pourchez (moi-même)
et nous sommes toutes trois conseillères techniques de Mr Hubac inspecteur d'Académie de la Somme.
Et seront présent également Mme le Dr Burger et Mme Rousseau respectivement médecin et infirmière conseillères techniques de Mme le Recteur de l'académie d'Amiens
Le public sera :
- Les infirmières , psychologue, enseignants référents et assistantes de service social scolaires du département de la somme
- Des inspecteurs de l'éducation nationale ( de circonscription)
- Les médecins de l'éducation nationale de l'académie
- Les assistantes de service social en faveur des personnels de l'Académie et des administrations du département ( hors Éducation)
- Des infirmières de l'Aisne et de l'Oise
- Des conseillers techniques des inspecteurs d'académie de l'Oise et de l'Aisne ( médecins, infirmiers, assistantes sociales)
- Des magistrats , juges des enfants, procureur, substitut, ..
- Des personnels de l'espace des droits de l'enfant et du conseil départemental
- Des personnels de cohésion sociale et d'association complémentaire de la justice ( yves lefevre)
- Des médecins généralistes ( médecins des pompiers et sexologue)
-Un médecin responsable de l'unité de médecine légale du CHU d'Amiens
- Une formatrice discipline positive
soit près de 280 personnes ....
5- le 19 décembre à Paris
Le Conseil Départemental des Yvelines
Dans le mouvement de professionnalisation des assistants familiaux du département des Yvelines, il est nécessaire d’organiser des formations sur des thèmes ciblés de la protection de l’enfance actuelle avec des cycles de conférences de sensibilisation au sujet, pour sensibiliser les professionnels de l’enfance au repérage des troubles et à leur prise en charge quotidienne.
« la prise en charge des psychotraumatismes »
- Madame FALL, ethnologue et thérapeute familiale, vice-présidente.
- Madame SALMONA, psychiatre, spécialisée en psycho-traumatologie, présidente association mémoire traumatique et victimologie ;