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Blog d'information sur les mécanismes et les conséquences des psychotraumatismes consécutifs à des violences familiales, conjugales et/ou sexuelles.
Agenda provisoire
des interventions de l'Association Mémoire Traumatique et Victimologie de janvier 2010 à décembre 2010
L'association prépare pour le 10 novembre 2010 un colloque sur les violences sexuelles et mémoire traumatique, causes et conséquences de représentations stéréotypées et mystificatrices de la sexualité et de la féminité
Le colloque aura lieu à l'Agoreine à Bourg la Reine et sera ouvert à tout public.
Deux documentaires seront diffusés un de Serge Garde sur la pédocriminalité avec une interview du Dr Muriel Salmona qui passera en juin sur la chaîne 13ème rue et un d'Olivier Enogo sur l'inceste avec les interview des Dr Judith Trinquart et Muriel Salmona
Janvier 2010
Février 2010
Mars 2010
avril 2010
Mai 2010
Juin 2010
Septembre 2010
Octobre 2010
Novembre 2010 : dans le cadre de la journée de la journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes du 25 novembre
Décembre 2010
Cliquez sur les images pour agrandir
Colloque
"VIOLENCES INTRA-FAMILIALES, CONSÉQUENCES SUR LES ENFANTS"
Mercredi 14 avril 2010
de 9h à 17h
A la salle des fêtes du Pecq
Animation par Isabelle GUILLEMIN,
Directrice du Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles
En présence de Elisabeth TOME-GERTHEINRICHS, Chef de service des droits des femmes et de
l'égalité entre les femmes et les hommes, adjointe au directeur général de la cohésion sociale
Droit de la famille
Responsable : Mme Hélène Poivey-Leclercq
Sous-commission des mineurs
Responsables : Mme Dominique Attias, Mme Cécile Marchal
Jeudi 8 avril de 17h30 à 19h30, bibliothèque de l’Ordre
Thème : « L'inceste : état des lieux »
Intervenants : M. Barbier Sainte-Marie, substitut du procureur de la République auprès du parquet des mineurs de Paris, Mme Murielle Salmona, psychiatre, Mme Chantal Dorval, administrateur ad’hoc, Mme Catherine Perelmutter, avocat à la Cour
JOURNÉE DE SENSIBLISATION AUX VIOLENCES A L'ENCONTRE DES FEMMES ET DES ENFANTS
ouverte à tous
le jeudi 8 avril 2010
à l'initiative du département des urgences
du centre hospitalier Robert Ballanger
à Aulnay sous Bois
avec le soutien et la collaboration de l'Observatoire des violences envers les femmes du 93
01 avril 2010 |
Pour protéger les femmes victimes de violences, les député-e-s
écrivent des lois. Apparement les préfets n'arrivent pas à les lire.
Ni une ni deux, organisons une
CONSULTATION OPHTALMOLOGIQUE PUBLIQUE
POUR LES PRÉFECTURES
Le jeudi 8 avril à 19h
Place du châtelet à Paris
Avec le participation de la Compagnie Acidu
Prises de parole
Pour les femmes étrangères, les violences subies (violences conjugales, exploitation sexuelle, esclavage moderne...) ont une incidence sur leur situation administrative. Pour certaines d’entre elles, fuir une situation de violences physiques ou psychologiques est souvent synonyme de clandestinité.
Si depuis 2003, des avancées législatives permettent à ces femmes de quitter la situation de violence et d’obtenir un titre de séjour, en pratique, ces textes ne sont pas ou mal appliqués.
De nombreux dysfonctionnements administratifs sont constatés : refus de prendre des dossiers complets, demandes abusives de justificatifs et documents, refus de cartes de séjour normalement accordées de plein droit, refus de récépissés lors de l'examen de la demande de titre de séjour, etc…
Ces exemples de dysfonctionnements et pratiques abusives représentent le quotidien des femmes étrangères victimes de violences. L'adoption d'une législation favorable à leur égard n'est pas suffisante. Encore faut il qu'elle soit appliquée !
Voir aussi :
http://www.cimade.org/minisites/niunenideux
05 mars 2010 |
Dans le cadre de la campagne « Ni une ni deux » initiée par La Cimade, une enquête auprès de 75 commissariats, a été mise en place pour observer les conditions d’accueil et de prise en charge des femmes étrangères victimes de violences. Il en résulte que dans plus d’un commissariat sur trois, une femme sans-papiers qui voudrait porter plainte contre des violences, risquerait l’expulsion.
Pour les femmes étrangères victimes de violences, la plainte est parfois un élément indispensable pour la délivrance d’un titre de séjour. Or c’est précisément parce qu’elles n’ont pas de titre de séjour qu’elles rencontrent des difficultés pour porter plainte.
Certains agents de police, plutôt que de considérer ces femmes comme des victimes, les voient d’abord comme des délinquantes du seul fait qu’elles sont en situation irrégulière. Et plutôt que d’assurer leur protection, certains choisissent de les placer en garde à vue et de prendre attache avec les services préfectoraux pour organiser leur expulsion.
Le 2 mars 2010, 75 commissariats ont été contactés.
A la question de savoir si une femme sans papiers battue par son conjoint pouvait venir déposer plainte,
38% des commissariats ont indiqué qu’elle serait interpellée, dont 5% qu’elle ne pourrait même pas porter plainte. 12% des commissariats contactés ne pouvaient donner de réponse.